Entre récit de voyage et réflexions intimes, Cueilleur d’essences est le récit de trente ans de métier de Dominique Roques, qui parcourt le monde à la recherche des meilleurs producteurs de matières premières naturelles.
« L’écrivain d’odeurs » a repris la plume pour rédiger un Atlas de botanique parfumée, paru aux éditions Arthaud en octobre. Suscitant un succès aussi retentissant que surprenant – du moins pour son auteur – il s’est vite retrouvé en rupture de stock. Nous l’avons interrogé à ce sujet.
Calice Becker, présidente de la Société Internationale des Parfumeurs Créateurs (SIPC), a répondu aux questions de Nez.
« Pour bien faire il faut faire le bien et pour faire le bien il faut bien faire » : cette devise reflète l’héritage de la société Firmenich qui fête en novembre 2020 ses 125 ans.
Avec son podcast olfactif Inspire, lancé en novembre, Cartier réunit artistes, historiens ou scientifiques autour de son parfumeur maison, Mathilde Laurent.
Ingénieur agronome et docteur ès sciences, Roland Salesse a été chargé de mission à la culture scientifique à l’INRA où il a créé et dirigé l’unité de neurobiologie de l’olfaction. En 2017, il a fondé Nez en herbe, une association dont l’objectif est de développer l’odorat des enfants en bas âge.
Touche-à-tout et hyperactif , Silvio Lévi est une figure incontournable de la parfumerie dite de niche (en Italie, on dira plus volontiers artistique). À la tête d’une marque de parfum, d’une société de distribution, et grand ordonnateur du salon Esxence à Milan, il a créé avant l’été Essencional, un site d’information dédié à la parfumerie indépendante.
Distributeur de parfums avec Différentes Latitudes, cofondateur des marques Liquides imaginaires et Parfums Frapin & Cie, puis de la boutique Liquides, bar à parfum à Paris, David Frossard a désormais décidé de lancer sa propre marque : Obvious. Évidemment.
Lorsqu’on est amateur de parfums, ou simplement curieux, comment acquérir une culture olfactive ? Par quels moyens satisfaire sa soif de connaissances ? l’Institute for Art and Olfaction détaille ses actions multiples.
L’Osmothèque abrite des parfums qui habitent la vie et les souvenirs du grand public. Qu’ils soient encore en vente ou bien disparus, ceux-ci sont autant de fragments d’une grande mémoire collective.
Durant la vie d’un parfum, il arrive que sa formule change. Alexandra Kosinski (CPL Aromas), explique comment procèdent les parfumeurs.
Ayant à cœur de valoriser la dimension artistique du parfum comme une expérience qui agrandit et intensifie la vie, Ludovic Bonneton a imaginé une marque lisible et joyeuse.
Comment lancer une marque indépendante dans un paysage désormais arrivé à saturation ? Quelles erreurs faut-il éviter pour se distinguer au sein d’une offre pléthorique ? Les réponses de François Hénin, fondateur de Jovoy.
Comment travaille un grand groupe pour développer un nouveau parfum ? Karine Lebret nous explique comment L’Oréal se distingue par la présence d’une cellule olfactive.
Audrey Barbéra, directrice de compte globale chez Symrise, nous livre son éclairage sur le développement d’un parfum grand public.
De quelle manière s’organise le réseau de distribution sur le premier marché du monde ? Comment évolue-il ? Explications avec François Duquesne, fondateur de Maison Duquesne et distributeur aux États-Unis.
Depuis une vingtaine d’années, aux côtés des préparateurs, les robots interviennent de plus en plus dans la pesée des formules. Les réponses de Bernard Maccini, parfumeur senior et responsable chez Payan Bertrand.
Cristina Castellanos nous détaille le processus de fabrication au sein de la société de composition espagnole Iberchem spécialisée dans la parfumerie fine et fonctionnelle.
Les logiciels d’intelligence artificielle s’immiscent peu à peu dans le processus de développement de parfums. Jean-Christophe Hérault, parfumeur senior chez IFF, explique les enjeux de ce qui est parfois présenté comme une révolution.
Le parfumeur devient le maillon essentiel d’un véritable écosystème et s’implique dans le développement d’une nouvelle création bien au-delà de la formule elle-même, comme nous l’explique Mathilde Laurent.
