Céline Perdriel : « Fleurs d’oranger de Serge Lutens m’a accompagnée et certainement guidée »

Il y a des parfums qui disparaissent aussi vite qu’ils sont apparus. Et puis il y a les parfums qui comptent, ceux qui marquent à jamais la vie et la carrière d’un parfumeur. Semaine après semaine, ils sont désormais plusieurs à nous avoir conté leur rapport à une création, et l’influence parfois inconsciente de celle-ci sur leur manière de composer. Aujourd’hui, Céline Perdriel nous parle d’une composition de Christopher Sheldrake, entre souvenirs d’enfance et passages interdits.

Julie Massé : « Créer de l’attachement, voilà la quête éternelle que m’a murmurée Arpège » 

Il y a des parfums qui disparaissent aussi vite qu’ils sont apparus. Et puis il y a les parfums qui comptent, ceux qui marquent à jamais la vie et la carrière d’un parfumeur. Semaine après semaine, ils sont désormais plusieurs à nous avoir conté leur rapport à une création, et l’influence parfois inconsciente de celle-ci sur leur manière de composer. Cette semaine, Julie Massé nous parle de l’aura d’Arpège, que portait sa grand-mère.

Daniela Andrier : « Le sillage du N°19 a inspiré ma manière de composer en général » 

Il y a des parfums qui disparaissent aussi vite qu’ils sont apparus. Et puis il y a les parfums qui comptent, ceux qui marquent à jamais la vie et la carrière d’un parfumeur. Semaine après semaine, ils sont désormais plusieurs à nous avoir conté leur rapport à une création, et l’influence parfois inconsciente de celle-ci sur leur manière de composer.
Ce 19 septembre, jour de son anniversaire, Daniela Andrier, nous parle de l’une de ses références, le N°19 de Chanel.

Michel Almairac : « Habanita est à mes yeux aussi illustre que Shalimar ou L’Heure bleue » 

Il y a des parfums qui disparaissent aussi vite qu’ils sont apparus. Et puis il y a les parfums qui comptent, ceux qui marquent à jamais la vie et la carrière d’un parfumeur. Semaine après semaine, ils sont désormais plusieurs à nous avoir conté leur rapport à une création, et l’influence parfois inconsciente de celle-ci sur leur manière de composer.
Aujourd’hui, Michel Almairac évoque Habanita de Molinard, une « pièce de musée » composée en 1921 par Henri Bénard, qu’il a découvert enfant.

Mandy Aftel : « Joy de Jean Patou me transportait vers des lieux exotiques »

Il y a des parfums qui disparaissent aussi vite qu’ils sont apparus. Et puis il y a ceux qui comptent, ceux qui marquent à jamais la vie et la carrière d’un parfumeur. Aujourd’hui, Mandy Aftel se souvient de Joy de Jean Patou, la fragrance que portait sa mère. Un choc olfactif à l’origine de sa vocation.

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