La rentrée littéraire olfactive : Nez#04, Jean-Claude Ellena, les Cent onze parfums qu’il faut sentir avant de mourir…

Nez et les éditions Le Contrepoint poursuivent leur collaboration, avec la même volonté de créer une marque de référence dans le monde de l’édition, autour des sujets olfaction et parfum.

Après le livre « pratique », Les Cent onze parfums qu’il faut sentir avant de mourir, une nouvelle collection voit le jour : Nez littérature. Nous avons le plaisir et l’honneur d’ouvrir cette collection par un ouvrage autobiographique de Jean-Claude Ellena, L’Écrivain d’odeurs (17€), qui sera disponible le 5 octobre en librairie. Vous pouvez d’ores et déjà le commander sur la boutique Auparfum et le recevoir dès début octobre, sans frais de port.

D’autres paroles de parfumeurs seront à venir, dès mars prochain, pour alimenter cette collection.

Pour continuer, voici bientôt venu, comme tous les six mois, votre rendez-vous traditionnel avec la revue de la culture olfactive, la bien-nommée (enfin nous l’espérons) Nez. Ce quatrième numéro ne réunit pas moins d’une trentaine de rédacteurs, issus de nombreuses spécialités… et pays ! Vous pouvez vous dès aujourd’hui vous le procurer sur la boutique Auparfum et ainsi le recevoir quelques jours avant la sortie officielle en librairie (19 octobre).

Pour finir, vous pouvez toujours trouver dans les bonnes librairies, et sur la boutique Auparfum, Les Cent onze parfums qu’il faut sentir avant de mourir.

130 ans de création résumés en 111 parfums, c’est une nouvelle gageure olfactive que nous avons tenté de réaliser pour vous.. et pour que nos lecteurs parisiens prennent un peu d’avance, nous vous proposons de venir sentir l’ensemble de ces parfums lors d’un événement exceptionnel qui se tiendra du 13 au 17 septembre prochain, dans le cadre des Rives de la Beauté : le Cabinet Royal(e), un pop-up store dédié au parfum à la beauté et à la culture olfactive.

Plus d’informations ici : http://bit.ly/CabinetRoyal_e

Commentaires

Laisser un commentaire

Quelle chance pour les parisiens, d’avoir la chance de sentir (en supposant cela possible car le NEZ sature et l’esprit aussi) ces fameuses 111 essences…
Et pourquoi 111 et pas 100, 222 ???
Par ailleurs, il serait utile au lecteur que je suis de connaître le prix de ses ouvrages ; on a beau être passionné(e) d’odeurs, ce n’est pas pour autant que l’on est susceptible, tous, de pouvoir investir dans de tels supports. Merci.

Bonne continuation.

Bonjour
Merci pour votre message.
Vous pouvez cliquez sur les liens et voir les prix sur la boutique :). Mais c’est une bonne idée de les ajouter ici. Je m’en occupe.
Cordialement

Avec le soutien de nos grands partenaires

IFRA